RĂ©sumĂ©de VipĂšre au Poing d’HervĂ© Bazin RĂ©sumĂ© chapitre par chapitre Chapitre I Dans une propriĂ©tĂ© familiale, un petit garçon Ă©touffe une vipĂšre. Lorsqu’il exhibe son trophĂ©e, il provoque
PrĂ©sentation gĂ©nĂ©rale de l’Ɠuvre 1 L’Ɠuvre Cette Ɠuvre est un roman autobiographique d’HervĂ© Bazin publiĂ© en 1948, son titre est VipĂšre au Poing ». Ce roman entre dans le parcours de l’autobiographie et de la thĂ©matique ; Art, technique, expression. L’étymologie de autobiographique » vient de auto » qui veut dire soi en latin, de bio » qui veut signifier la vie et de graphie » l’écriture en grec. VipĂšre au poing » et le premier roman autobiographique d’HervĂ© Bazin 1911-1996. Celui-ci l’a rendu trĂšs cĂ©lĂšbre. L’histoire se dĂ©roule au dĂ©but du XXe siĂšcle, plus prĂ©cisĂ©ment dans les annĂ©es vingt, sois Ă  la fin de la seconde guerre mondiale. Ce roman raconte l’enfance terrible qu’à vĂ©cu HervĂ© Bazin. Le titre Dans le premier chapitre, le roman commence par une anecdote. Le narrateur raconte un passage de son enfance. L’enfant tombe sur une vipĂšre et l’étouffe. Cet acte lui vaut Ă  ĂȘtre comparĂ© Ă  Hercule, le personnage mythologique grecque, qui dans son berceau Ă©trangla deux serpents. Lorsqu’il Ă©crit ce livre des annĂ©es plus tard, il compara les yeux de sa mĂšre Ă  celle de la vipĂšre. Comme la vipĂšre il aurait voulu la tuer, pour cause d’avoir gĂąchĂ© son enfance. DĂ©crire et analyser l’Ɠuvre Le narrateur, Jean Rezeau allias HervĂ© Bazin, prĂ©sente dans cet extrait le portrait de chacun des cinq membres la famille Rezeau. La famille Rezeau est une famille bourgeoise dans la rĂ©gion angevine. Dans leur petite enfance, Freddie et Jean n’ont pas Ă©tĂ© Ă©levĂ©s par leurs parents, partis en Chine pour le travail, mais par leur grand-mĂšre. Au dĂ©cĂšs de celle-ci, les parents reviennent s’installer en France, rĂ©cupĂ©rant la garde des deux aĂźnĂ©s et leur prĂ©sentent Marcel, le benjamin de la fratrie, nĂ© en Chine. Le portrait d’une famille de tragĂ©die de théùtre ou de cinĂ©ma Atrides en gilet de flanelles », c’est comme ça que compare l’auteur Ă  sa famille. Les Atrides sont une famille de la mythologie grecque, frappĂ©e par de multiples drames famili... Le narrateur, Jean Rezeau allias HervĂ© Bazin, prĂ©sente dans cet extrait le portrait de chacun des cinq membres la famille Rezeau. La famille Rezeau est une famille bourgeoise dans la rĂ©gion angevine. Dans leur petite enfance, Freddie et Jean n’ont pas Ă©tĂ© Ă©levĂ©s par leurs parents, partis en Chine pour le travail, mais par leur grand-mĂšre. Au dĂ©cĂšs de celle-ci, les parents reviennent s’installer en France, rĂ©cupĂ©rant la garde des deux aĂźnĂ©s et leur prĂ©sentent Marcel, le benjamin de la fratrie, nĂ© en Chine. 1 Le portrait d’une famille de tragĂ©die de théùtre ou de cinĂ©ma Atrides en gilet de flanelles » , c’est comme ça que compare l’auteur Ă  sa famille. Les Atrides sont une famille de la mythologie grecque, frappĂ©e par de multiples drames familiaux. L’auteur met en avant le dĂ©goĂ»t qu’il Ă©prouve pour sa famille et surtout la haine qu’il a pour sa mĂšre. gilet de flanelles » est une mĂ©tonymie de la bourgeoisie et une hyperbole ironique. Le style d’HervĂ© Bazin se caractĂ©rise souvent par de l’ironie pour mettre Ă  distance les souvenirs douloureux de son enfance. Cette pause descriptive au sein du dĂ©roulement du roman rappelle une scĂšne d’exposition au théùtre ou un gros plan, personnage par personnage au cinĂ©ma. Le narrateur s’adresse directement au lecteur en crĂ©ant une connivence, un pacte autobiographique avec lui.. »
MmeThirion, Ă©pouse du mĂ©decin a Ă©videmment un rĂŽle beaucoup moins sympathique : femme bafouĂ©e par l’adultĂšre de son mari, elle devient mĂšre cruelle en se vengeant sur Raoul de son Ă©poux, de Jeanne et de l’enfant adultĂ©rin, une sorte de Folcoche, vipĂšre au poing. DĂ©cryptez VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin avec l'analyse du ! Que faut-il retenir de VipĂšre au point, le cĂ©lĂšbre roman autobiographique d'HervĂ© Bazin ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette Ɠuvre dans une analyse complĂšte et dĂ©taillĂ©e. Vous trouverez notamment dans cette fiche ‱ Un rĂ©sumĂ© complet‱ Une prĂ©sentation des personnages principaux tels que Jean, Paule et Jacques‱ Une analyse des spĂ©cificitĂ©s de l'Ɠuvre un rĂ©cit initiatique, un roman autobiographique, l'inspiration rĂ©aliste du roman, et un rĂ©cit d'une mordante ironie. Une analyse de rĂ©fĂ©rence pour comprendre rapidement le sens de l'Ɠuvre. LE MOT DE L'ÉDITEUR Dans cette nouvelle Ă©dition de notre analyse de VipĂšre au poing 2017, avec Delphine Leloup et CĂ©lia Ramain, nous fournissons des pistes pour dĂ©coder ce bouleversant rĂ©cit autobiographique mettant en scĂšne une mĂšre tyrannique. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l'Ɠuvre et d'aller au-delĂ  des clichĂ©s. » StĂ©phanie FELTEN À propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'Ɠuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes Ɠuvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur DĂ©cryptezVipĂšre au point dHervĂ© Bazin avec lanalyse du Que faut-il retenir de VipĂšre au point, le cĂ©lĂšbre roman autobiographique dHervĂ© Bazin?

ï»żSi je te dis le mot “marĂątre” Ă  quelle Ɠuvre penses-tu ? Peut-ĂȘtre Ă  Cendrillon, certes, dans un premier temps. Mais si je te parle de VipĂšre au Poing, ça te dit quelque chose ? VipĂšre au Poing d’HervĂ© Bazin, c’est une Ɠuvre de littĂ©rature classique qu’il n’est pas rare d’étudier, notamment au collĂšge. Pour t’aider Ă  tout comprendre de ce roman, lis cet article oĂč tu trouveras le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing, mais Ă©galement quelques Ă©lĂ©ments importants Ă  caser dans tes copies ! 😉 HervĂ© Bazin, l’auteur de VipĂšre au poing ✒ Qui Ă©tait HervĂ© Bazin ? đŸ€” HervĂ© Bazin – ou de son nom de naissance Jean Pierre Marie HervĂ©-Bazin – est un Ă©crivain et romancier français, nĂ© le 17 avril 1911 et mort le 17 fĂ©vrier 1996. Il est en particulier connu pour ses Ɠuvres VipĂšre au Poing, La Mort du petit cheval et Cri de la chouette. D’oĂč lui est venue l’inspiration pour VipĂšre au Poing ? 💭 Eh bien, les Ɠuvres d’HervĂ© Bazin sont tout simplement en grande partie autobiographiques ! Tu comprendras trĂšs vite pourquoi en lisant la suite de l’article, mais c’est son enfance qui lui a inspirĂ© son fameux livre ainsi que le personnage Folcoche. HervĂ© Bazin a grandi dans une famille aisĂ©e, Ă  Marans prĂšs d’Angers, dans la propriĂ©tĂ© familiale Le ChĂąteau du Patys avec ses deux frĂšres. Son pĂšre est Jacques HervĂ©-Bazin, un avocat de profession et sa mĂšre est Paule Guilloteaux, la fille du dĂ©putĂ© et sĂ©nateur Jean Guilloteaux. Durant son enfance, il s’oppose souvent Ă  sa mĂšre qui Ă©tait une femme autoritaire et froide. Du fait de son histoire familiale difficile, il fugue plusieurs fois durant son enfance, puis refuse de passer les examens Ă  la facultĂ© de droit d’Angers Ă  laquelle sa famille l’a forcĂ© Ă  aller. Il finit enfin par rompre le lien avec sa famille pour aller Ă©tudier Ă  la facultĂ© des lettres de la Sorbonne. VipĂšre au poing le contexte de l’histoire đŸ”„ IntĂ©ressons-nous maintenant Ă  ce qui t’intĂ©resse probablement le plus le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing. 🚹 Spoilers inclus ! Qui nous raconte l’histoire de VipĂšre au poing ? đŸ€“ Le narrateur est Jean Rezeau, aussi surnommĂ© Brasse-Bouillon. Il nous raconte sa propre histoire, 25 ans aprĂšs les faits ainsi que celle de son frĂšre Ferdinand dit Fredie ou Chiffe en raison de son caractĂšre timide et peureux. Le cadre spatio-temporel de VipĂšre au poing ⏰ L’action se dĂ©roule durant l’étĂ© 1922 dans le chĂąteau familial de la Belle-Angerie, Ă  quelques kilomĂštres d’Angers. Un lieu que l’auteur connaĂźt bien puisqu’il a grandi dans les environs ! Durant cet Ă©tĂ©-lĂ , un Ă©vĂ©nement tragique se produit pour les deux frĂšres Jean et Ferdinand leur grand-mĂšre qui les Ă©levait jusqu’à prĂ©sent meurt, ce qui oblige leur pĂšre et leur mĂšre Ă  rentrer de Chine oĂč le pĂšre travaillait dans une universitĂ© pour pouvoir s’occuper des enfants. Le retour des parents le dĂ©but des pĂ©ripĂ©ties đŸ˜” Les deux frĂšres ne connaissent finalement que peu leurs parents, ayant Ă©tĂ© Ă©levĂ©s pendant des annĂ©es par leur grand-mĂšre. Ils ne connaissent pas non plus leur petit frĂšre, Marcel, le dernier nĂ© de la famille. Tu peux imaginer la hĂąte qu’ils ont de se retrouver en famille, non ? Pourtant, quand leurs parents arrivent c’est la douche froide. Alors qu’ils se jettent sur leur mĂšre pour Ă©changer de chaleureuses embrassades, celle-ci les gifle froidement et leur ordonne de porter leurs bagages. Leur petit frĂšre reste froid Ă©galement quand seul leur pĂšre daigne les embrasser. Folcoche portrait d’une marĂątre đŸ˜« Ferdinand et Jean rĂ©alisent rapidement que leur nouvelle vie ne va pas ĂȘtre aussi belle que ce Ă  quoi ils s’attendaient, en particulier Ă  cause de leur mĂšre qu’ils surnommeront par la suite Folcoche. À peine arrivĂ©s dans la maison, les parents Ă©dictent quelques nouvelles rĂšgles. Le pĂšre annonce que la journĂ©e commencera par une messe dans la chapelle privĂ©e Ă  5h30. Les garçons devront ensuite Ă©tudier avec l’abbĂ© qui vit avec eux et la journĂ©e se terminera Ă  21h30. Folcoche, quant Ă  elle, Ă©dicte d’autres rĂšgles les enfants n’auront plus le droit Ă  leur cafĂ© au lait du matin, ils auront le crĂąne rasĂ© pour des questions d’hygiĂšne et elle enlĂšvera les poĂȘles, Ă©dredons et coussins dans leurs chambres. De quoi passer les pires nuits d’hiver ! Les mesures draconiennes de Folcoche 😈 La mĂšre va donc commence par raser fils aprĂšs fils leurs cheveux, avec la tondeuse qui servait auparavant Ă  l’ñne Cadichon. Mais les maltraitances ne s’arrĂȘtent pas lĂ  Elle nourrit mal ses leur plante sa fourchette dans les mains s’ils adoptent une tenue incorrecteElle renvoie la gouvernante Ernestine qui a eu le malheur de dĂ©fendre les enfantsElle confisque leurs jouets et les friandises que leur offrent leurs grands-parentsElle les force Ă  se confesser devant elle et le prĂ©cepteur chaque soirElle les force Ă  porter de lourds sabots inconfortables pour ne pas abimer leurs chaussuresLes heures de rĂ©crĂ©ations sont maintenant destinĂ©es Ă  l’entretien du parc D’oĂč vient le nom de Folcoche dans VipĂšre au poing ? đŸ€” BlessĂ©s par le comportement de leur mĂšre, Fredie et Jean affublent leur mĂšre du surnom Folcoche qui est composĂ© des mots “folle” et “cochonne”. Ils commenceront Ă  graver un peu partout des “VF” qui signifient “Vengeance Ă  Folcoche”. RĂ©sumĂ© des chapitres 8 Ă  15 ✹ La partie de chasse avec le pĂšre đŸč Le pĂšre emmĂšne un jour ses fils Ă  une partie de chasse, ce qui leur permettra d’obtenir un moment de joie, mais surtout de rĂ©pit. Cependant, la mĂšre folle de haine d’avoir vu ses fils heureux dĂ©cide de les priver de ce loisir par la suite. Le pĂšre prend alors leur dĂ©fense, mais cela ne fait qu’empirer la situation puisque, humiliĂ©e, la marĂątre dĂ©cidera d’isoler les enfants dans une piĂšce et de les battre. Alors que Jean Rezeau tente de se dĂ©fendre, elle se met Ă  le battre jusqu’à l’épuisement. Au repas, bien que le pĂšre remarque les marques sur les corps de ses fils, il dĂ©cide cette fois de se taire. La maladie de Folcoche đŸ€§ Fort heureusement pour les enfants, un jour lors d’un repas la femme est prise d’un malaise. Elle est alors hospitalisĂ©e pendant plusieurs mois du fait d’une crise hĂ©patique. C’est un nouvel Ăąge d’or qui commence pour les enfants qui se rapprochent de leur pĂšre et voient toutes les anciennes interdictions levĂ©es. La haine qu’ils ressentent envers leur mĂšre est si forte qu’ils en viennent Ă  souhaiter sa mort. Celle-ci s’en sortira et reviendra Ă  la Belle-Angerie. Elle dĂ©couvre nĂ©anmoins avec horreur en rentrant que ses enfants ont grandi et que leur pĂšre s’oppose un peu plus Ă  elle. Le plan machiavĂ©lique de Folcoche đŸ€Ż Folcoche dĂ©cide alors d’accepter que le pĂšre emmĂšne Fredie et Brasse-Bouillon chez des amis et reste au chĂąteau pendant quelques semaines seule avec Marcel. Celui-ci qui prend le parti de sa mĂšre dĂ©nonce une cachette oĂč ses frĂšres cachaient des vivres pour les moments oĂč elle les en privait. À leur retour, Ferdinand qui est l’aĂźnĂ©, est fouettĂ© par le nouvel abbĂ© qu’elle a embauchĂ©. Elle espĂšre crĂ©er un conflit entre les deux frĂšres et ainsi les opposer, mais ceux-ci restent solidaires. Elle commence alors Ă  fomenter des plans tous plus tordus les uns que les autres pour torturer ses garçons. RĂ©sumĂ© des chapitres 16 Ă  la fin Les tentatives de meurtre đŸ”Ș ÉpuisĂ©s, les garçons dĂ©cident alors de tuer leur mĂšre pour en ĂȘtre dĂ©barrassĂ©s. Plusieurs tentatives Ils versent l’intĂ©gralitĂ© d’un mĂ©dicament dans son verre. Cela ne se solde que par une essaient de la noyer en la faisant sauter dans une barque qu’ils poussent au dernier moment pour qu’elle tombe dans l’eau. À leur plus grande surprise, elle en rĂ©chappe puisqu’elle sait nager. “La rage au cƓur, je dus assister au sauvetage de Folcoche par elle-mĂȘme. Sauvetage par elle-mĂȘme, je dis bien, car elles Ă©taient deux dans l’OmmĂ©e la fragile Mme Rezeau, toute couturĂ©e, sans muscles, manquant de souffle, et l’indomptable Folcoche, dĂ©cidĂ©e Ă  vivre et Ă  faire vivre son double, malgrĂ© l’eau sale qui lui trempait les cheveux, lui rentrait dans la gorge, vivement recrachĂ©e, malgrĂ© nos silencieuses priĂšres Ă  Satan. La voilĂ  qui se rapproche de la berge, la voilĂ  qui s’agrippe Ă  une touffe de sauges, l’arrache, retombe, saisit cette fois une racine plus solide et se hisse pĂ©niblement sur la rive oĂč elle s’effondre, Ă©puisĂ©e, mais sauvĂ©e Oh !” Cette deuxiĂšme tentative de meurtre aura pour consĂ©quence de mettre la mĂšre trĂšs en colĂšre. Elle prĂ©voira de battre Ă  nouveau Jean. Celui-ci s’échappera afin de rejoindre la maison de ses grands-parents maternels Ă  Paris. Malheureusement, ceux-ci dĂ©noncent Jean Rezeau car ils n’ont pas envie de s’en occuper et Brasse-Bouillon est ramenĂ© Ă  la Belle-Angerie. L’ultime plan de la marĂątre ⚔ La mĂšre essaie alors de jouer un dernier coup pour envoyer Jean en maison de correction. Elle cache une grosse somme d’argent et veut le faire accuser de vol. Avant qu’elle ne donne l’alerte, son fils lui rapporte la somme d’argent et la menace de rĂ©vĂ©ler cette affaire Ă  tous. Il exige de partir de la maison afin de devenir interne au collĂšge. RĂ©signĂ©e, Folcoche accepte. Jean Rezeau a gagnĂ©. À lire aussi L’origine du titre VipĂšre au poing Laisse-nous un commentaire ! Des questions ? Des bons plans Ă  partager ? Nous validons ton commentaire et te rĂ©pondons en quelques heures ! 🎉

VipÚreau poing, c'est le combat impitoyable livré par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et par ses frÚres à leur mÚre, une femme odieuse qu'ils ont surnommée Folcoche. Cri de haine et de révolte, ce roman, largement autobiographique, le premier d'Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d'emblée parmi les écrivains les plus lus du XXe siÚcle.
Plongez-vous dans l'analyse du chapitre 16 de VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension de l'oeuvre !Que retenir du chapitre 16 de VipĂšre au poing, le roman populaire qui fit scandale Ă  sa sortie ? Retrouvez toutes les subtilitĂ©s de ce chapitre dans un commentaire original et complet pour approfondir votre rĂ©flexion sur le rĂ©cit. Vous trouverez dans cette fiche - Une introduction sur l'oeuvre et son auteur- L'extrait sĂ©lectionnĂ© Chapitre 16- Une mise en contexte- Un commentaire de texte complet et dĂ©taillĂ© L'outil indispensable pour percevoir rapidement ce qui fait du chapitre 16 de VipĂšre au poing une inversion du rapport de force entre la mĂšre et le fils !À propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'oeuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers toute la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes oeuvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur
Plongezvous dans l¿analyse du chapitre 20 de VipÚre au poing d¿Hervé Bazin pour approfondir votre compréhension de l¿¿uvre !Que retenir du chapitre 20 de VipÚre au poing, le roman populaire qui fit scandale à sa sortie ? Retrouvez toutes les subtilités de ce chapitre dans un commentaire original et complet pour approfondir votre réflexi
lapetitemuExpertA ceux qui Ă©tudient ou ont Ă©tudiĂ© VipĂšre au poing en 3e comment procĂ©dez-vous pour rendre comprĂ©hensibles aux Ă©lĂšves les nombreuses rĂ©fĂ©rences religieuses ? et sociales dans un second temps Je ne parle pas seulement des symboles "faciles", comme le serpent, mais des formules latines, des mots dĂ©signant les membres du clergĂ©...Rien que dans le premier chapitre, entre "une tĂȘte de vipĂšre, c'est triangulaire comme Dieu, son vieil ennemi", "mon oncle le protonotaire apostolique", "Pater, Ave. Un petit ex-voto fut accrochĂ© dans le silence." ... Comment faire pour expliciter ces mots ou expressions dont certains sont importants pour la comprĂ©hension, soit de l'histoire, soit du style de l'auteur sans interrompre sans cesse la lecture pour expliquer ? Je pensais Ă  quelque chose comme une fiche voire un cours entier Ă  distribuer avant de commencer l'oeuvre sur la religion chrĂ©tienne. Mais que choisir exactement ? Je ne vais pas faire un cours de catĂ©chisme non plus... Rappel des Ă©pisodes importants de la Bible ? Principales formules de priĂšre ? Organisation gĂ©nĂ©rale du clergĂ© Ă  cette Ă©poque, avec prĂ©cisions sur les membres qu'on rencontre dans le livre ? MĂȘme question pour le contexte social bourgeoisie dĂ©but XXe...Aidez-moi, s'il vous plaĂźt ! Vos rĂ©ponses seront dĂ©terminantes dans ma dĂ©cision d'opter ou non pour cette oeuvre en OI...OudemiaEsprit sacrĂ©"protonotaire apostolique", mĂȘme Ă  l'Ă©poque ça ne courait pas les rues, voilĂ  pourquoi le personnage est montĂ© en Ă©pingle le titre est plus ronflant que la fonction.J'avais tentĂ© une annĂ©e, il y a longtemps; le contexte social Ă©chappe aux Ă©lĂšves, comme celui du XIXe s. finalement ils peuvent ĂȘtre sensibles Ă  l'AcadĂ©mie française pour l'aspect religieux, la fiche est un prĂ©alable que j'avais failli faire que je vais peut-ĂȘtre rĂ©aliser pendant l'Ă©tĂ© tiens, cela m'amusera ; dans ce cas je te l'enverrai.saocaeNiveau 7AprĂšs lecture du 1er chapitre, j'ai demandĂ© Ă  mes Ă©lĂšves de choisir 5 mots-clefs rĂ©sumant le chapitre, en expliquant leur choix. Quelques uns avaient choisi le mot "religion". J'ai complĂ©tĂ© les rĂ©fĂ©rences du 1er chapitre Ă  ce moment-lĂ . Je n'ai pas expliquĂ© le contexte social. C'est certainement une erreur de ma part. greamNiveau 6Je remonte le topic. Je vais commencer Ă©galement l'Ă©tude de ce tu as finalement fait une fiche ou les Ă©lĂšves n'en ont pas eu besoin ?Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Unenfant dĂ©couvre une vipĂšre. Il la saisit et l’étouffe de ses mains. 5 ans plus tard, Jean Rezeau, est le narrateur de l’histoire. Son surnom est Brasse- Bouillon. Il Ă©voque la propriĂ©tĂ© de sa famille, La Belle Angerie.
VipĂšre au poing Auteur HervĂ© Bazin Genre Roman autobiographique Éditeur Grasset Collection Pourpre Lieu de parution France - Paris Date de parution Juin 1948 Illustrateur Caroline Ledoux Nombre de pages 237 Chronologie La Mort du petit cheval VipĂšre au poing est un roman largement autobiographique[Note 1] d'HervĂ© Bazin, sorti en 1948. Le livre dĂ©crit l'enfance et l'adolescence du narrateur, Jean Rezeau Brasse-Bouillon ». Ce dernier dĂ©crit ses rapports avec sa famille, et notamment sa mĂšre Paule Rezeau, nĂ©e Pluvignec Folcoche » contraction de folle et de cochonne, cruelle et peu aimante. Ce roman est un huis clos entre la mĂšre indigne, les trois enfants martyrisĂ©s, le pĂšre lĂąche et un prĂ©cepteur changeant. RĂ©sumĂ© Durant l'Ă©tĂ© 1922, Jean et Ferdinand sont Ă©levĂ©s par leur grand-mĂšre paternelle dans le chĂąteau familial de la Belle-Angerie, dans la rĂ©gion de SegrĂ©, au nord d'Angers. La mort de leur grand-mĂšre oblige leurs parents, Jacques et Paule Rezeau, Ă  quitter la Chine oĂč le pĂšre enseigne dans une universitĂ© de Shanghai, pour revenir s’occuper de leurs enfants. Avec impatience et curiositĂ©, les deux enfants attendent leurs parents et le petit frĂšre qu’ils ne connaissent pas sur le quai de la gare. En se jetant sur leur mĂšre pour l’embrasser, ils se font violemment repousser par cette derniĂšre qui souhaite descendre tranquillement du train. Leur nouveau petit frĂšre, Marcel, leur adresse un salut presque froid. Seul leur pĂšre les embrasse. De retour au chĂąteau, la famille et le personnel sont convoquĂ©s dans la salle Ă  manger pour Ă©couter la nouvelle organisation de la famille le pĂšre annonce un emploi du temps spartiate, avec messe dans la chapelle privĂ©e dĂšs le commencement de la journĂ©e, vers 5 h, et Ă  son achĂšvement vers 21 h 30. Pendant la journĂ©e, les Ă©tudes sont dispensĂ©es par l'abbĂ© qui vit avec eux. Soudain, le pĂšre prend prĂ©texte d’avoir des mouches Ă  piquer pour se retirer, laissant ainsi son Ă©pouse, Paule, annoncer ses propres directives les enfants n’auront plus le droit au cafĂ© au lait le matin mais Ă  la soupe, ils auront les cheveux tondus par mesure d'hygiĂšne et, par sĂ©curitĂ©, elle ĂŽte les poĂȘles, les Ă©dredons et les oreillers dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels. Quant aux heures de rĂ©crĂ©ations, elles doivent ĂȘtre consacrĂ©es Ă  l'entretien du parc. Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils peuvent » porter avec de la paille s'il fait froid. En peu de temps, les enfants sont affamĂ©s, frigorifiĂ©s, privĂ©s de tout confort, de toute tendresse, et constamment sujets Ă  des brimades, punitions ou humiliations de la part de leur mĂšre, sous l'Ɠil de leur pĂšre qui semble prĂ©fĂ©rer ne rien voir pour Ă©viter un conflit avec son Ă©pouse. Au cours des repas, elle n’hĂ©site pas Ă  piquer violemment un de ses fils avec la fourchette s'ils n’adoptent pas une tenue qu'elle considĂšre correcte. Quand la gouvernante tente de s’interposer, Paule la renvoie immĂ©diatement, comme elle l'a dĂ©jĂ  fait pour tout le personnel, Ă  l’exception de Fine, la vieille cuisiniĂšre, Ă  sa merci du fait qu'elle est sourde et muette. Les enfants qui dĂ©testent leur mĂšre lui trouvent le surnom qu'elle porte dorĂ©navant en permanence Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout oĂč ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance Ă  Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle dĂ©teste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensĂ©ment pendant les repas, rituel » que les frĂšres appellent pistolĂ©tade ». Lorsque Folcoche doit ĂȘtre hospitalisĂ©e en raison de graves problĂšmes rĂ©naux, les enfants exultent, espĂ©rant que leur mĂšre mourra de son mal, mais contre toute attente, elle survit. Toutefois, ayant laissĂ© la maison suffisamment longtemps pour que les chĂątiments corporels ne soient plus assez efficaces sur ses fils, Mme Rezeau tente alors de sĂ©parer le trio en les montant les uns contre les autres. Ainsi, durant une expĂ©dition Ă  laquelle ne participent que M. Rezeau, Jean et Freddie, elle profite pour obtenir de Marcel qu'il lui rĂ©vĂšle une cachette dans laquelle les trois frĂšres dissimulaient diffĂ©rents objets et nourriture dĂ©robĂ©s. A leur retour, Jean et Freddie apprennent la trahison de Cropette et l'arrivĂ©e d'un nouvel abbĂ©, surnommĂ© par les enfants B VII, particuliĂšrement cruel. Freddie doit assumer seul la responsabilitĂ© du vol des objets et de la nourriture et est fouettĂ©. DĂ©pitĂ©s par la tournure des Ă©vĂ©nements, les enfants tentent alors de tuer Folcoche. Ils cherchent dans un premier temps Ă  l'empoisonner avec ses propres mĂ©dicaments, mais la tentative se solde par un Ă©chec. Par la suite, lors d'une sortie en bateau, Brasse-Bouillon s'arrange pour faire tomber Folcoche dans la riviĂšre de l'OmĂ©e. Paule, qui ne sait pas nager, parvient pourtant Ă  s'en sortir. Folle de rage, elle cherche Ă  faire fouetter Jean qui se barricade dans sa chambre puis s'enfuit durant la nuit afin de demander l'arbitrage de ses grands-parents maternels. La rencontre avec les parents de Folcoche est une dĂ©ception pour le hĂ©ros qui peut mesurer Ă  quel point ceux-ci n'accordent aucune importance, ni Ă  leur fille, ni Ă  leurs petits-enfants. Finalement, Jean est ramenĂ© Ă  la Belle Angerie par son pĂšre. Au comble du conflit qui les oppose, Folcoche tente de faire envoyer Jean dans une maison de redressement en dissimulant son propre portefeuille dans une cachette de la chambre des enfants, mais Jean - qui l'a vue faire - le lui restitue immĂ©diatement et parvient Ă  la convaincre de l'envoyer, lui et ses frĂšres, au collĂšge. AcculĂ©e, Folcoche doit cĂ©der. L'Ă©pilogue trace le parallĂšle entre la vipĂšre rĂ©elle du dĂ©but de l'histoire et celle, symbolique, reprĂ©sentant sa propre mĂšre. Brandissant cette victoire contre la tyrannie maternelle, le narrateur conclut par ces mots "Merci ma mĂšre. Je suis celui qui marche, une vipĂšre au poing." Un roman autobiographique DĂšs la sortie du roman, HervĂ© Bazin le dĂ©clare autobiographique ; cependant, quand sortent les deux autres romans La Mort du petit cheval et Cri de la chouette formant la trilogie de la famille Rezeau, il modĂšre ses propos et affirme que ce ne sont que des romans bien qu'ils soient largement inspirĂ©s de son enfance douloureuse auprĂšs d'une mĂšre sĂšche et autoritaire. Le contexte gĂ©ographique Bazin situe le roman Ă  Soledot, village proche de SegrĂ© en Anjou. Jean et ses frĂšres ainsi que leurs parents, Fine, et les curĂ©s successifs apparus dans le roman vivent dans un manoir reliĂ© Ă  une chapelle et Ă  une boulangerie qu'ils appellent de façon trĂšs mĂ©liorative La Belle Angerie ». HervĂ© Bazin a lui-mĂȘme grandi dans une propriĂ©tĂ© prĂšs de SegrĂ©, dans la commune de Marans, qui peut donc ĂȘtre identifiĂ©e au Soledot du roman. La famille Bazin y possĂ©dait une propriĂ©tĂ©, le Patys ou PĂątis, un petit chĂąteau de la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle[1]. Une ferme situĂ©e Ă  proximitĂ© se nomme par ailleurs la Belle Angerie[2]. La description qui est faite de la Belle Angerie est plutĂŽt fidĂšle Ă  l'apparence du Patys, avec ses deux tourelles, ses verriĂšres et le ruisseau qui coule Ă  proximitĂ©, l'OmmĂ©e[1],[3]. En outre, de nombreux lieux existant rĂ©ellement autour de Marans sont mentionnĂ©s au fil du roman, comme BĂ©con-les-Granits, Les Ponts-de-CĂ© ou CandĂ©. Le contexte familial HervĂ© Bazin prĂ©sente la famille Rezeau comme descendante d'un Claude Rezeau[4], et d'une famille "de Tanton". Cela est aussi le cas comme en tĂ©moigne la gĂ©nĂ©alogie de la famille Bazin Claude Bazin, aĂŻeul de l'auteur, nĂ© en 1645 a Ă©pousĂ© une demoiselle de Tanton de La GaugriĂšres. La seule diffĂ©rence entre le roman et la rĂ©alitĂ© rĂ©side dans le fait que Bazin s'appelait en rĂ©alitĂ© Jean-Pierre HervĂ©-Bazin ; son pĂšre Ă©tait Jacques HervĂ©-Bazin, fils de Ferdinand HervĂ© et Marie Bazin[5]. Le patronyme "Rezeau" rappelle le nom du chĂąteau qui a appartenu Ă  des ancĂȘtres d'HervĂ© Bazin, le chĂąteau Rezeau Ă  Andard[6]. Dans le roman, peut-ĂȘtre pour des raisons de simplification, Bazin crĂ©e l'histoire de la famille Rezeau, dont le domaine se transmet de pĂšre en fils. Chez les HervĂ©-Bazin, en fait, le PĂątis s'est transmis par sa grand-mĂšre. L'acadĂ©micien RenĂ© Rezeau du roman qui est un frĂšre du grand-pĂšre paternel de Jean, est dans la rĂ©alitĂ© l'acadĂ©micien RenĂ© Bazin, frĂšre de la grand-mĂšre paternelle. Entre le roman et la vĂ©ritable famille d'HervĂ© Bazin, les prĂ©noms et noms des personnages sont souvent Ă  peine modifiĂ©s. Par exemple, la famille Rezeau est composĂ©e de Jacques Rezeau docteur en droit et Paule Pluvignec, et de leurs enfants Ferdinand dit Chiffe, Jean dit Brasse-Bouillon et Marcel dit Cropette. La famille HervĂ©-Bazin est composĂ©e, elle, de Jacques HervĂ©-Bazin aussi docteur en droit et Paule Guilloteaux, et leurs enfants, Ferdinand, Jean-Pierre et Pierre. À noter que dans l'Ă©dition "J'ai Lu", HervĂ© Bazin fait un lapsus repris par l'Ă©diteur en Ă©crivant "Pierre" pour dĂ©signer "Marcel" dans le dernier chapitre de VipĂšre au poing. Les noms et prĂ©noms des oncles et tantes de HervĂ© Bazin n'ont Ă©galement Ă©tĂ© que trĂšs peu modifiĂ©s, comme Michel HervĂ©-Bazin, protonotaire apostolique, qui apparaĂźt avec la mĂȘme fonction clĂ©ricale dans le roman, avec pour identitĂ© Michel Rezeau. Les nombreux tĂ©moignages de l'Ă©crivain, ainsi que de sa fille, Catherine, elle aussi Ă©crivain, rĂ©affirment la cruautĂ© de Folcoche, confirmant ainsi le caractĂšre autobiographique du roman. Adaptations Ă  l'Ă©cran L'Ɠuvre d'HervĂ© Bazin a fait l'objet de deux adaptations, l'une pour la tĂ©lĂ©vision, l'autre pour le cinĂ©ma, qui ont conservĂ© le titre du roman. La premiĂšre adaptation[7] a Ă©tĂ© diffusĂ©e Ă  la tĂ©lĂ©vision en 1971, dans une rĂ©alisation de Pierre Cardinal, avec Alice Sapritch qui y interprĂšte une Folcoche marquante. La seconde adaptation est sortie sur les Ă©crans en 2004, dans une rĂ©alisation de Philippe de Broca, avec Jacques Villeret et, dans le rĂŽle de Folcoche, Catherine Frot. Suite Ce roman, Ă©crit dans un français exemplaire, est Ă©tudiĂ© par les collĂ©giens français et reste une rĂ©fĂ©rence sur l'enfance difficile. Il est suivi de La Mort du petit cheval, qui relate le passage Ă  l'Ăąge adulte du hĂ©ros et sa transformation par l'amour et la paternitĂ©, puis de Cri de la chouette, qui voit, vingt ans aprĂšs, l'arrivĂ©e de Folcoche dans la famille recomposĂ©e de Jean et les troubles que provoque son affection tardive et maladroite pour son fils. Éditions PremiĂšre Ă©dition imprimĂ©e HervĂ© Bazin, VipĂšre au poing, Paris, Bernard Grasset, coll. Pourpre », 1948, 256 p. BNF 41623141 Livre audio HervĂ© Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, VipĂšre au poing, Paris, Auvidis, 1988 EAN 329-84-9000-704-4, BNF 38145428Support 4 cassettes audio ; durĂ©e non connue ; rĂ©fĂ©rence Ă©diteur Auvidis Z125 AD 803. HervĂ© Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, VipĂšre au poing, Paris, Auvidis, 1995 EAN 329-84-9000-704-4, BNF 38145428Support 5 disques compacts audio ; durĂ©e 5 h 38 min environ ; rĂ©fĂ©rence Ă©diteur Auvidis AZ704 AD 104. HervĂ© Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, VipĂšre au poing, Paris, NaĂŻve, 3 juin 2004 EAN 329-84-9000-759-4Support 5 disques compacts audio ; durĂ©e 5 h 38 min environ ; rĂ©fĂ©rence Ă©diteur non connue.[Note 2] Sources Notes ↑ Voir aussi l'article autofiction ↑ NaĂŻve est le repreneur de l'ancien catalogue d'Auvidis. RĂ©fĂ©rences ↑ a et b Base MĂ©rimĂ©e Demeure dite le PĂątis ↑ Ouest-France, HervĂ© Bazin Marans se souvient de son romancier, 20 dĂ©cembre 2012 ↑ VipĂšre au Poing ↑ Peut-ĂȘtre est-ce une allusion au capitaine de l'armĂ©e de Charette, en VendĂ©e, Pierre Rezeau, qui a bien existĂ©. ↑ HervĂ© Bazin, AbĂ©cĂ©daire, article Bourgeoisie palĂ©o » ↑ Pierre-Louis Augereau, Les Secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, page 312 ↑ VipĂšre au poing sur Voir aussi Articles connexes Poil de carotte 1894, roman autobiographique de Jules Renard Liens externes
HERVEBAZIN : VIPERE AU POING (RESUME) CHAPITRE 1 Un été à tout juste six ans, le narrateur Jean Rezeau dit Brasse-Bouillon étouffe à main nue une vipÚre. Cet exploit
Livres Ebooks & liseuses NouveautĂ©s Coups de cƓur Livres Ă  prix rĂ©duits Bons plans Papeterie Jeux Reprise de livres VipĂšre au poing, c'est le combat impitoyable livrĂ© par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et par ses frĂšres Ă  leur mĂšre, une femme odieuse qu'ils... Lire la suite 5,90 € Poche Actuellement indisponible 8,75 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 3,49 € TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 4,49 € Grand format Actuellement indisponible 22,40 € Livre audio Actuellement indisponible 17,00 € Actuellement indisponible 18,80 € En stock en ligne LivrĂ© chez vous Ă  partir du 30 aoĂ»t VipĂšre au poing, c'est le combat impitoyable livrĂ© par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et par ses frĂšres Ă  leur mĂšre, une femme odieuse qu'ils ont surnommĂ©e Folcoche. Cri de haine et de rĂ©volte, ce roman, largement autobiographique, le premier d'HervĂ© Bazin, lui apporta la cĂ©lĂ©britĂ© et le classa d'emblĂ©e parmi les Ă©crivains les plus lus du XXe siĂšcle. Date de parution 11/09/2018 Editeur Collection ISBN 978-2-253-23761-7 EAN 9782253237617 Format Poche PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 240 pages Poids Kg Dimensions 11,0 cm × 17,8 cm × 1,0 cm
VipĂšreau poing d'HervĂ© Bazin - Chapitre 20 - Commentaire de texte par Audrey Millot aux Ă©ditions lePetitLitteraire.fr. Plongez-vous dans l’analyse du chapitre 20 de VipĂšre au poing d’HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension Fiche identitĂ© Titre du livre VipĂšre au poing Auteur HervĂ© Bazin Nombre de pages 255 Édition Le livre de poche RĂ©sumĂ© Jean Rezeau, surnommĂ© Brasse-Bouillon, mĂšne une vie tranquille Ă  la campagne, dans la commune du Soledot en Maine-et-Loire, avec son frĂšre aĂźnĂ© Ferdinand. Celle-ci va basculer lorsque sa grand-mĂšre meurt et que ses parents reviennent de Chine pour continuer leur Ă©ducation. Il sera confrontĂ© Ă  une mĂšre autoritaire, violente et odieuse. Avis Un jour, mon copain m’a parlĂ© de ce livre et m’a confiĂ© qu’il l’avait lu. Malheureusement, sa mĂ©moire lui fait dĂ©faut et il ne se souvient plus de l’histoire. EtonnĂ©e de cet oubli volontaire ou non, j’ai dĂ©cidĂ© de le lire afin de me faire ma propre opinion. Des les premiĂšres lignes, le style d’écriture ne m’a pas plu les phrases sont courtes et hachĂ©es. Le niveau de dĂ©tail est dense, accentuĂ© par l’utilisation de mots compliquĂ©s et de descriptions plates. Parfois, l’auteur sombre dans un cynisme presque dĂ©rangeant. L’atmosphĂšre du livre, dans le premier chapitre, est Ă©trange, mĂȘme si la suite l’est beaucoup moins. Nous sommes dans une famille de bourgeois de campagne durant l’annĂ©e 1922. DĂšs son retour de Chine, Mme Rezeau s’empresse d’affirmer son autoritĂ© devant ses enfants un rythme de vie trĂšs stricte ponctuĂ© par des leçons de morale, de brefs rĂ©crĂ©ations et des punitions corporelles en tout genre. Si au dĂ©but, elle paraissait sĂ©vĂšre, cette mĂšre de famille dĂ©voile de plus en plus son caractĂšre odieux et cruel les fourchettes plantĂ©es dans les jointures de doigt Ă  table, les coups de fouet assĂ©nĂ©s jusqu’à l’épuisement, les taloches et autres brimades presque inimaginables de nos jours sans compter les confessions publiques des pĂ©chĂ©s Ă  genoux le soir en famille. En plus, leur pĂšre, un homme effacĂ© et soumis, se rĂ©fugie dans ses recherches scientifiques et n’intervient que trĂšs rarement dans leur Ă©ducation. Tout le livre suinte de cette haine, de ce mĂ©pris et de cette peur que Jean a envers sa mĂšre au point de tenter de la tuer. La violence est omniprĂ©sente et crĂ©e un malaise comment une femme peut-elle dĂ©tester autant ses propres enfants ? Pourquoi se comporte-t-elle ainsi ? Et mĂȘme, comment autant de haine peut exister au sein d’une famille ? De toute ma vie, je n’ai jamais rencontrĂ©e une personne aussi inhumaine, pĂ©trie de mĂ©chancetĂ© et de cruautĂ©, et je tremble en pensant que cette histoire est en partie autobiographique. On dĂ©couvre Ă©galement la place de chaque catĂ©gorie sociale Ă  cette Ă©poque la famille Rezeau, imbue d’elle-mĂȘme, s’appuie sur les exploits de son passĂ© pour justifier sa rĂ©putation et considĂšre avec condescendance et mĂ©pris les paysans, mĂ©tayers et autres gens du peuple. J’ai mis uniquement trois coeurs car tous ses sentiments laissent un goĂ»t amer dans la bouche. La fin prĂ©sage un triste avenir pour le personnage principal Ă©duquĂ© dans la haine et la mĂ©fiance, il emportera ce lourd bagage dans sa vie et sait qu’il ne pourra pas s’en dĂ©faire. A lire, oui mais ne pas hĂ©siter Ă  avoir un livre plus gai Ă  cĂŽtĂ© de soi au cas oĂč toute cette souffrance vous affecte trop !
RĂ©digĂ©ede maniĂšre claire et accessible, la fiche de lecture propose d’abord un rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre du roman, puis s’intĂ©resse tout particuliĂšrement Ă  Jean et Ă  sa mĂšre, qui entretiennent une relation haineuse. On Ă©tudie ensuite la dimension autobiographique de l’Ɠuvre, ainsi que sa portĂ©e initiatique, avant d’aborder la critique formulĂ©e par Mauriac Ă  l
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  • rĂ©sumĂ© vipĂšre au poing chapitre par chapitre