Ilest beau, le lancement du bateau de Théo et Hugo. C’est un de ces vaisseaux nocturnes et parisiens, illuminé de rouge, dans la cale duquel des hommes se retrouvent pour faire l’amour

Sign In Karelle & Kuntur Soundtrack 2016 Full of Fools 1 421 Souvenirs de primaire Backroom Edit 2 907 Impact 3 305 Sébastopol 4 216 Château d'eau 5 158 Bichat 6 318 Juliette Dodu 7 145 Jemmapes 8 207 Jaurès 9 223 Canal Saint-Martin 10 150 Stalingrad 11 123 We Care 12 455 April 27, 2016 12 Songs, 38 Minutes ℗ 2016 Ecce Films More by Karelle & Kuntur

DOlivier Ducastel, Jacques Martineau (1 h 37). Int. -16 ans.
Ballet des corpsDerrière un titre affichant des faux airs de comptine, le nouveau film d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau s’exhibe pourtant d’entrée de jeu dans une crudité la plus totale, par une séquence d’ouverture à la fois déstabilisante et envoûtante. Dans un sex-club, les corps de Théo et Hugo se remarquent, se désirent, se tournent autour et finissent par céder à une pulsion de l’instant, fiévreuse et intense. Cette longue scène de sexe, d’une durée de vingt minutes, introduit le spectateur au cœur d’une ambivalence qui exprime d’emblée certains enjeux du film, à la fois esthétiques et narratifs. Dans la crudité de ce qu’elle livre à la perception du spectateur – la pénombre rougeâtre des backrooms permettant ici de ne pas tout montrer – cette séquence de sexe non simulée parvient à recréer un espace et une atmosphère d’intimité, dans un champ filmique baigné pourtant par la nudité des partenaires. Sur fond d’une musique électro entraînante, les corps de Théo et Hugo inscrivent leur rencontre dans une temporalité en quelque sorte déréglée, qui s’exprimera pleinement dans un fragment fantasmé, aux allures presque kitsch, digne d’une toile de Pierre et Gilles. Un simple échange de regards entre les deux hommes suffit alors pour suspendre pendant quelques minutes le temps de la narration, et mieux isoler et extirper leurs corps de cette chorégraphie nocturneL’habilité du film consiste alors à faire de cet apparent dérèglement de la rencontre une véritable richesse narrative. Que reste-t-il à découvrir de l’autre lorsque l’on vient de céder au désir de l’instant ? Le désir amoureux garde-t-il des conditions de possibilité d’émergence ? Une perspective que semble tout de suite menacer la crainte de la transmission du VIH, car si Hugo fait rapidement l’aveu à Théo – de manière détournée – de sa séropositivité, l’immédiateté du désir a déjà fait baisser la garde des deux hommes. La temporalité du film semble alors subir elle aussi de plein fouet et par ricochet cet aveu d’Hugo, et fait coïncider le temps réel avec le temps du récit. Alors que la rencontre entre les deux hommes a lieu vers 4h30 du matin, nous les quitterons vers 6h, dans un Paris qui s’éveille au moment du premier utilisation du temps réel évite la revendication de l’exercice de style a contrario, par exemple, de Victoria de Sebastian Schipper, autre film noctambule pour mieux épouser la temporalité propre aux personnages et leur permettre de jongler entre l’urgence de trouver un traitement de post-exposition au virus, et l’irrésistible envie de découvrir l’autre. Impossible également, pendant ces 90 minutes, de ne pas penser à l’angoisse que vit Cléo de 5 à 7, dans le film d’Agnès Varda, dans lequel le temps réel se confondait avec l’attente de la réponse médicale. Le temps réel devient ici celui de la déambulation de Théo et Hugo, du quartier de Sébastopol jusqu’à Stalingrad et Anvers, et permet aux réalisateurs d’explorer un Paris presque vide, marginal, qui laisse un champ filmique aussi vaste que du cadreLa déambulation nocturne des personnages se transforme ainsi en une ballade improvisée, modelée par les aléas des discussions auxquelles se livrent les deux hommes, entre le dévoilement de soi et des instants, imprévisibles, de rupture et de fermeture à l’autre. Un brin littéraires, les répliques du film deviennent les symptômes de ce jeu de séduction, et portent en elles les cheminements intérieurs et spontanés des deux hommes. C’est comme si nous avions fabriqué de l’amour » fait par exemple remarquer Hugo à la sortie du club. C’est peut-être ce même jeu de langage qui impose au film, comme malgré lui, une filiation avec certains archétypes cinématographiques de la Nouvelle Vague » le cadre filmique devient un espace de création, un cadre mouvant, comme s’il obéissait entièrement à la trajectoire improvisée des deux hommes. À ce titre, cette nouvelle réalisation rappelle également quelques instants de marche nocturne de Jean et Lara dans Les Nuits fauves, non tant dans le croisement thématique de la maladie que dans la mise en situation de personnages réels comme dans le film de Cyril Collard, le médecin interprète ici son propre rôle. Ou encore lors de cette séquence matinale de métro parisien, durant laquelle les passagers réels deviennent les figurants d’un cadre filmique qui laisse peut-être esquisser les prémisses d’un rapprochement amoureux. C’est d’ailleurs dans cette ambition que se dessine peut-être la plus belle générosité du film inscrire les personnages dans un cadre filmique en perpétuel mouvement, grâce à des travellings nocturnes, qui deviennent peut-être les tentatives de Théo et Hugo pour repousser ensemble les limites psychologiques du cadre dans lequel pourrait les enfermer la maladie.
Letitre du film rappelle bien sûr l’un des plus beaux films de Jacques Rivette, Céline et Julie vont en bateau.Et puis il y a dans cette déambulation nocturne dans Paris en temps réel
Récompensé par le Teddy Award du public à la dernière Berlinale, "Théo et Hugo dans le même bateau", en salles mercredi, met en scène de façon inédite et sensible une romance homosexuelle confrontée à la menace du sida. Ce film, huitième long métrage des cinéastes français Olivier Ducastel et Jacques Martineau, donne l'illusion d'avoir été tourné en temps réel, rappelant l'esprit et le souffle de la Nouvelle vague. Il débute par une longue scène de sexe non simulé dans la "backroom" d'un sexclub de Paris, ce qui lui a valu une interdiction aux moins de 16 ans. La Commission de classification a toutefois estimé que "Théo et Hugo dans un même bateau" ne méritait pas une interdiction totale aux mineurs, sans attendre le nouveau texte réglementaire promis par la nouvelle ministre de la Culture. Fin février, Audrey Azoulay a annoncé son intention de modifier les critères sur lesquels repose l'interdiction des films aux moins de 18 ans, afin de "conforter" les avis de la commission de classification et de limiter les recours en justice. Une décision qui fait suite aux victoires judiciaires d'une association proche des milieux catholiques traditionalistes contre plusieurs films dont "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche ou "Love" de Gaspar Noé. La ministre s'appuie sur les propositions contenues dans un rapport du Centre national du cinéma CNC qui préconise d'abandonner l'interdiction "automatique" d'un film aux mineurs lorsque celui-ci "comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence". L'émotion indicible du coup de foudre Couple à la ville comme à la scène, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, duo de cinéastes révélé par "Jeanne et le garçon formidable" 1998 et "Drôle de Félix" 2000, célèbrent dans ce nouveau film la naissance d'un amour entre deux garçons, insistant pour la première fois sur l'émotion indicible du coup de foudre et du désir sexuel qui peut faire oublier la prévention du sida. Abordant leur sujet de façon presque documentaire à certains moments, les réalisateurs signent une réelle et émouvante histoire d'amour, où les sentiments plus forts que tout résistent à l'adversité. Après une rencontre dans l'anonymat des corps et une étreinte passionnée, Théo et Hugo, magistralement interprétés par Geoffrey Couët, vu dans le Saint-Laurent de Bertrand Bonello, et la révélation François Nambot, se dégrisent en pleine nuit dans les rues de Paris. A l'aune de leur amour naissant mais aussi de la menace qui pèsent sur eux, du fait de leur imprudence. "Nous savions dès que nous avons lancé l'écriture, qu'il nous faudrait rester dans ce que nous appelons la catégorie des films pirates, totalement en dehors des circuits de financement habituels du cinéma français. Cela nous a offert une grande liberté", explique Olivier Ducastel. "Cela ne valait pas la peine de se mettre en marge si c'était pour produire à la fin des images édulcorées. Nous voulions vérifier qu'il était possible de filmer la sexualité en s'écartant à la fois des interdits moraux et de la grammaire classique des films pornographiques", ajoute-t-il. Pour la première fois, la prophylaxie pré-exposition PrEP, nouvelle stratégie de prévention du VIH à mettre en place 48 heures après un rapport sexuel à risque, est également abordée au cinéma de façon explicite et pédagogique.
Theoand Hugo (Théo et Hugo dans le même bateau) Trailer (2016) Votre sélection croisière Bateau Adventure of the Seas Cabine Départ Arrivée Nombre de jours VOTRE CROISIÈRE DU EN CABINE Nombre de participants Participants et coordonnées Vos coordonnées VOIR LE TARIF DESTOCKAGE ! En validant ma demande, j'accepte de participer au programme de fidélisation des Experts du Voyage.* En cliquant sur "Voir le tarif Destockage", j'enregistre mes coordonnées et valide mon inscription au programme de fidélisation des Experts du Voyage. Fermer Dates précédentes Dates suivantes 1 024 € 1 274 € 1 339 € 1 744 € 1 154 € 1 356 € 1 609 € 2 066 € Le moins cher Veuillez patienter pendant le chargement de l'itinéraire... L adventure of the Sea regorge d installations exclusives et d ' animations hors norme ,venez patiner en pleine mer ,grimper sur le mur d escalade ou vous détendre autour de la piscine ou dans le Vitality Spa ... vivez l expérience Adventure !!! 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Pour la première fois, les joueurs disputeront le tournoi en tant qu’épreuve de la catégorie Challenger 80 voir encadré. Une montée en grade notable sur le circuit international de tennis professionnel. De quoi rendre fier Marc Tiersonnier, président du club historique depuis plus de cinq ans, qui a vu cette compétition éclore ces dernières années. Interview. Les Internationaux de Toulouse, tournoi organisé par le Stade Toulousain Tennis Club, débutent dimanche au complexe sportif des Sept Deniers © Stade Toulousain Tennis Club Pourquoi le Stade Toulousain a-t-il décidé de créer, lui aussi, une grande compétition de tennis dès 2018 en organisant les Internationaux de tennis de Toulouse ? L’histoire est partie des meilleurs joueurs du club. Ils étaient classés, à l’époque, au-delà de la 300e place mondiale. Malgré leur très bon niveau, ce classement ne leur permettait pas de disputer de grandes compétitions, notamment en France, avec des sommes élevées de prize-money gains empochés en fonction des résultats, ndlr. Avec les installations dont bénéficie le Stade Toulousain Tennis Club, nous nous sommes dit que nous devions tout de même essayer de créer une compétition où ces joueurs locaux, régionaux et nationaux puissent s’exprimer, sans avoir à voyager à l’étranger. Aussi, il existait autrefois un Grand Prix mondial qui était organisé au Palais des sports de Toulouse. La compétition s’est arrêtée après l’explosion d’AZF. Par le biais des Internationaux de Toulouse, nous avons voulu organiser à nouveau un tournoi international dans la ville. Et ceci en commençant à moindre échelle, dans la troisième division du tennis professionnel la catégorie des Futures, ndlr. Pour la première fois cette année, le tournoi est rentré dans la catégorie des ATP Challenger 80, correspondant à la deuxième division du circuit mondial voir encadré. Une fierté ? Les deux premières éditions 2018, 2019 des Internationaux de Toulouse étaient en effet organisées dans le plus haut niveau de la troisième division, avec un prize-money de 25 000 euros pour l’ensemble des joueurs. Ce niveau correspondait à celui de nos joueurs à l’époque, qui ont d’ailleurs remporté les deux finales. Mais ces derniers ont évolué plus vite que le tournoi ! Alors, comme eux, nous avons voulu monter de catégorie. Pour cela, dès 2020, nous avons candidaté auprès de l’Association des Tennismen Professionnels ATP pour que la compétition toulousaine devienne une épreuve du tournoi Challenger 80. Et ainsi, intégrer la deuxième division de tennis professionnel. Le cahier des charges est plus lourd mais nous disposons de toutes les installations nécessaires à l’organisation de ce genre d’événement. L’ATP a donc accepté notre dossier il y a deux ans. Mais avec la crise de la Covid-19, les deux dernières éditions des Internationaux de Toulouse ont été annulées. Cette année, ce sera donc effectivement la première fois que la compétition est organisée en tant qu’épreuve de l’ATP Challenger. Et nous en sommes très fiers. Mais c’est avant tout une grande responsabilité, il faut que tout roule. Les Internationaux de tennis de Toulouse montent d’un niveau Les Internationaux de Toulouse ont donc vu passer des joueurs locaux devenus des grands noms du tennis, comme Benjamin Bonzi et Hugo Gaston. L’ambition de ce tournoi est, aussi, de faire émerger les espoirs ? Nous appelons ce genre de tournois les “Futures”. Cela signifie qu’ils ont pour objectif de mettre en lumière les jeunes joueurs qui s’entraînent encore avec la Fédération française de tennis. Mais le passage des Internationaux en circuit Challenger change un peu la donne. Les sportifs présents à Toulouse à partir de dimanche sont en effet classés entre la 100ème et la 250ème place mondiale. Soit à un niveau très élevé. L’ambition reste toutefois de laisser un terrain d’expression aux jeunes joueurs français. Il existe d’ailleurs les “wild cards”. Autrement dit, des invitations que le club et la Fédération française de tennis distribuent à des jeunes joueurs qui ne correspondent pas aux critères communs de sélection, mais que nous estimons être capable de jouer à un tel niveau de compétition. Personnellement, je vais les accorder à des licenciés du Stade Toulousain, c’est normal. Arthur Raymond, Maxence Brovillé, Axel Garcian et Théo Arribagé devraient ainsi en bénéficier. La fédération privilégie aussi des joueurs français, donc peut-être qu’ils en feront partie. La liste n’est pas encore officielle, je ne peux rien dire de plus dessus. Même si Benjamin Bonzi 50ème mondial, Hugo Gaston 71ème mondial en simple, puis Hugo Nys 61ème mondial, Fabien Reboul 71ème mondial, Sadio Doumbia 76ème mondial, en double seront absents, étant à New York pour l’US Open, nos espoirs locaux ont les moyens de faire de bons résultats. Il va y avoir du grand spectacle. Lionnel Barthes, directeur du tournoi, Laurent Darcos, président du Comité de Tennis Haute-Garonne, Ugo Mola, parrain, Benjamin Bonzi, Hugo Gaston, Laurence Arribagé, adjointe Mairie de Toulouse et Marc Tiersonnier lors de l’édition 2019 des Internationaux de Toulouse © Stade Toulousain Tennis Club Un événement international organisé par un club historique Est-ce que vous comptez sur ce genre d’événement pour faire parler du Stade Toulousain Tennis ? Oui, il est également question de communication. Le tournoi permet de faire connaître Toulouse et le Stade Toulousain à l’international. C’est un club historique qui fêtera ses 100 ans l’année prochaine, pour ce qui est de la section tennis. Car il faut savoir que le Stade Toulousain est un club omnisports, avec plus d’une dizaine de disciplines. Il y a de l’athlétisme, de la natation, de l’escrime… Toutefois, il est certain que 99 % de la renommée du club est assurée par le Stade Toulousain rugby. Maintenant, la section tennis est moins connue du grand public, mais très connue dans le monde tennistique. Elle a vu passer de grands noms du sport français, comme Walter Spanghero, figure du rugby international qui a occupé la présidence 1985 ou encore le pilote automobile Xavier Lapeyre 1993. Le tennis a eu du succès auprès du grand public jusqu’aux années 70. Puis, comme partout en France, il y a eu une période de désamour pour la discipline, par effet de mode. Aujourd’hui, la renommée s’est stabilisée. Pour preuve, l’effectif du Stade Toulousain Tennis augmente d’à peu près 10 % chaque année. Le club compte désormais 1 300 membres et nous ne souhaitons pas en accueillir davantage, pour une question de confort. Depuis quelques années, vous faites confiance à des joueurs locaux pour monter une équipe professionnelle. Pourquoi ? Je considère le club comme une rampe de lancement pour les joueurs locaux, afin qu’ils atteignent le niveau international. Nous les aidons financièrement, nous sommes très attachés à eux. Mais l’objectif final reste qu’un jour, ils n’aient plus besoin de nous. La Pro Team s’est formée dans cet esprit il y a près de trois ans. Elle est composée de jeunes joueurs français Hugo Gaston, Benjamin Bonzi, Sadio Doumbia, Hugo Nys, Arthur Cazaux, Fabien Reboul, Arthur Reymond, Paul Cayre, Maxence Brovillé, Axel Garcian, Théo Arribagé, pour ce qui est de l’équipe masculine, à 90 % originaire de la région. La plupart des équipes françaises recrutent des joueurs internationaux, qui viennent une quinzaine de jours en France pour disputer des tournois, prendre leur chèque, puis rentrer dans leurs pays. La fédération française de tennis essaie d’ailleurs de lutter contre ce phénomène en imposant des quotas de Jeunes Issus de la Formation Française JIFF dans les compétitions. Le Stade Toulousain n’est pas du tout dans cette optique-là. Notre ambition n’est pas de recruter des joueurs étrangers pour remporter des compétitions interclubs. Bien au contraire, nous souhaitons faire décoller les joueurs locaux vers le haut niveau international. Et ils nous le rendent bien, ils sont très attachés au club et viennent souvent taper la balle avec les plus jeunes. Première victoire aux championnats de France de tennis pour Toulouse Le Stade Toulousain n’est peut-être pas dans l’optique de remporter des tournois interclubs, mais la Pro Team a remporté le championnat de France l’année dernière. Qu’avez-vous ressenti ? C’est la première fois dans l’histoire du club que l’équipe professionnelle remporte le championnat de France. Étant donné que l’ensemble des joueurs sont issus de la formation toulousaine, leur victoire a donné un bel éclairage sur la politique du club de faire jouer des adhérents “locaux”. L’impact était très positif. Pourtant, nous ne nous attendions pas tellement à cette victoire. Les compétitions interclubs se disputent à un niveau très élevé. Pendant le tournoi, les joueurs de la Pro Team ont joué contre des personnalités mieux classées qu’eux à l’international. Mais leur implication et leur solidarité ont fait la différence. Cela ne veut toutefois rien dire pour la saison prochaine. Déjà, parce que les joueurs de haut niveau du circuit français conservent leur haut niveau. Mais aussi parce que cette année, les interclubs tombent en même temps que les phases finales de la Coupe Davis. Si l’équipe de France les dispute, Benjamin Bonzi ne sera pas présent aux interclubs. Et il se peut qu’Hugo Gaston non plus. De plus, j’espère qu’Arthur Cazaux sera entièrement remis de sa pubalgie. Donc nous verrons bien, nous ne sommes pas à l’abri de belles surprises… Les joueurs de tennis professionnels s’affrontent toute l’année sur un circuit international. C’est à dire qu’ils peuvent disputer des tournois dans le monde entier au cours de la saison. L’accès aux différents tournois dépend de leur classement mondial puisque les tournois limitent les inscriptions à un certain nombre de joueurs. S’ils ne sont pas assez bien classés dans la hiérarchie mondiale, ils ont parfois le droit d’accéder aux qualifications. Dans ce cas, ils doivent disputer plusieurs tours avant de gagner leur place dans le tableau principal. Pour schématiser, les joueurs qui sont dans le Top 100 s’affrontent sur le circuit principal, l’ATP Tour. C’est le circuit que l’on voit le plus dans les médias avec les Grand Chelems, les Masters 1000, ATP 500 et ATP 250. Ceux qui sont moins bien classés se battent sur le circuit ATP Challenge Tour, sorte de 2ème division. Puis, il existe une 3ème division, l’ITF Men’s World Tennis Tour avec les tournois appelés Futures. À l’intérieur de chaque division, les tournois sont eux aussi répartis en différentes catégories selon les gains et les points ATP qui servent pour le classement qui sont à remporter. Les Internationaux de Toulouse sont donc passés cette année de Future à Challenger donc plus attrayants pour les joueurs. Faisant partie de la catégorie Challenger 80, le vainqueur récupèrera 80 points ATP pour son classement mondial.
  1. ክуцоֆо еξетυ ዞ
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  2. Лո ኺιпոц леврխգ
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    2. ኀоψևβቻво стоኜ акирсоλиս
  3. Триኖ ሰву ξኚцθኙимωрև
Avec“Hugo et Théo dans le même bateau”, les deux réalisateurs reviennent à la comédie amoureuse qu'ils affectionnent, héritée du cinéma de Demy et de la Nouvelle Vague, tout en Marque Hugo Boss Serie Hugo Boss HUGO Sous-collection Hugo Boss HUGO Theo Numéro de modèle 50478506-001 EAN 4063534981593 Sexe Hommes Type de portefeuille Portefeuille Zippé Couleur Noir Matériau Cuir Type de cuir Lamsleer Compartiment transparent Non Garantie 1 an sur erreur de production Chez Brandfield, vous achetez les meilleurs Hugo Boss portefeuilles, comme ce Hugo Boss HUGO Theo Black Ritsportemonnee 50478506-001. Acheter un Hugo Boss portefeuille chez Brandfield est sûr et facile dans notre boutique en ligne. Nous sommes un distributeur officiel Hugo Boss de portefeuilles. Vous bénéficiez de la garantie standard de 1 an sur erreur de production. Découvrez la collection complète de Hugo Boss portefeuilles dans notre boutique en ligne.
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Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.
Lesmeilleures offres pour Dans Blancs Rössl - Avec Theo Lingen (Filmjuwelen) [DVD] sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d 'occasion Pleins d 'articles en livraison gratuite! -16 HD Drame 1 heure 36 minutes 2016 4,7 • 6 notes Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Bande-annonce Distribution et équipe technique Informations Studio Ecce Films Genre Drame Sortie 2016 Copyright © 2016 Ecce Films Langues Principale Français Dolby, Stéréo D’autres ont aussi acheté Films inclus dans Drame
Dansun sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Proposé par Thèmes Ville Gay

Théo & Hugo dans le même bateau commence par une séquence assez longue dans un sex club gay et les deux réalisateurs ne cachent rien, ni les fesses, ni les sexes en érection des hommes qui s’y croisent et se percutent. Une entrée en matière brute, frontale, sans aucune parole, mais qui n’a rien d’un film pornographique pour autant. Car dans ce bouillonnement sexuel, Olivier Decastel et Jacques Martineau filment en fait… un coup de foudre. Ce n’est pas dans ce lieu que l’on attendrait une histoire d’amour, mais c’est précisément le sujet du dernier long-métrage des cinéastes. Après le sexe, les deux tourtereaux marchent dans le Paris du petit matin, quand la capitale est encore totalement vide, ils discutent, apprennent à se connaitre sur fond de peur du SIDA. Théo & Hugo dans le même bateau ne brille pas par ses dialogues récités un petit peu trop formellement — l’héritage de la Nouvelle-Vague est bien là, trop peut-être —, mais ce couple compliqué reste convaincant et séduisant. Une œuvre à part, à découvrir. Cette séquence d’ouverture risque de faire parler d’elle, il faut bien reconnaître que l’on voit rarement au cinéma une scène de sexe aussi explicite, surtout de sexe homosexuel. Pourtant, on devrait surtout en parler, non pas pour ce qu’elle montre, mais pour la forme très belle. Dans le sous-sol de ce club parisien, il fait très sombre et les corps ne sont éclairés que par des lampes rouges et bleus. Les hommes ressortent ainsi fortement sur des arrière-plans très sombres et le rendu est presque hypnotique, porté en outre par la bande-originale complètement dans l’esprit d’une boîte de nuit. Sans fard, Théo & Hugo dans le même bateau décrit les habitudes de ces endroits, où l’on multiplie les partenaires et où on baise avec le premier venu, parfois en duo, parfois à quatre ou cinq en même temps. Dans ce ballet sexuel, la caméra s’arrête plus particulièrement sur un jeune homme qui regarde en permanence un couple en pleine action. D’autres hommes lui font des avances, il en rejette certains, laisse les autres agir, mais il reste focalisé sur ce couple au milieu de la pièce, le regard bloqué, incapable apparemment de bouger. Petit à petit, il arrive à se rapprocher et à croiser le regard de celui qu’il convoite, et quelque chose se passe. Toujours sans aucun dialogue à ce stade, Jacques Martineau et Olivier Ducastel parviennent très bien à rendre cet amour naissant, ou en tout cas, à montrer que leurs étreintes ne sont pas que sexuelles. Certes, les corps se mêlent avec fougue, mais il y a des baisers et des caresses qui ne sont pas communes ici. Et puis le couple est exclusif les deux réalisateurs les séparent du reste de l’assemblée par un jeu de mise en scène, en les éclairant différemment, comme s’ils n’étaient plus vraiment dans un lieu d’orgie, comme s’ils étaient les seuls au monde. Après cette séquence intense, les deux protagonistes sortent et il est alors moins de cinq heures du matin. Commence une toute autre phase du long-métrage, faite de déambulations dans les rues parisiennes quasiment en temps réel, de Vélib’ et de kebab, mais aussi de SIDA et d’urgences. En effet, Hugo et Théo sortent d’abord du club avec une grosse envie de recommencer, mais la discussion aboutit vite sur une situation de crise ils n’ont pas utilisé de préservatifs, et l’un des deux est séropositif. Il faut se rendre à l’hôpital le plus proche et craindre le pire, pas la meilleure manière de commencer une relation sérieuse. Naturellement, cette crise peut aussi les rapprocher et Théo & Hugo dans le même bateau joue constamment de cette situation, entre rapprochements et tensions. Les deux jeunes acteurs, François Nambot et Geoffrey Couët, ont été choisis pour leur proximité et elle est éclatante à l’écran on pourrait juger que l’on a affaire à un véritable couple, tant leur couple de cinéma est convaincant. Malheureusement, leurs dialogues le sont beaucoup moins. Le scénario n’est pas toujours très bien écrit et de nombreux propos sonnent faux, notamment toute la partie autour du SIDA qui ressemble parfois à un clip de prévention. Il y a aussi le jeu qui pose problème, avec des phrases souvent récitées avec beaucoup trop de sérieux, sans conviction. Les deux acteurs donnent parfois le sentiment qu’ils venaient de découvrir leurs dialogues, déclamés comme dans une salle de classe, mais on sait que ce n’est pas le cas. C’est un effet voulu, dans la tradition parfaitement assumée de la Nouvelle-Vague et d’ailleurs, le choix du prénom de Théo est un clin d’œil à Agnès Varda et à Cléo de 5 à 71. On ne peut pas critiquer objectivement Olivier Ducastel et Jacques Martineau sur ce choix, tout sera affaire de goût quant à la réception, mais c’est tout de même dommage d’avoir des dialogues qui sonnent faux, alors que l’on a commencé avec une séquence muette parfaitement réaliste. Proposition de cinéma très différente de la moyenne, Théo & Hugo dans le même bateau est très intéressant à cet égard, et le film mérite d’être vu. Entre scène de sexe et Paris nocturne, la photographie est souvent magnifique et l’histoire d’amour racontée par les deux réalisateurs est aussi atypique qu’elle est crédible. Les dialogues manquent souvent de réalisme, tant dans le texte que dans l’interprétation, mais l’ensemble mérite malgré tout le détour.

MLCV.
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