Voyageau centre de la Terre. Jonathan Brock, anthropologue réputé, se voit confier la plus dangereuse et excitante mission de sa carrière. Martha Dennison, ne se remettant pas de la disparition de son époux Edward, souhaite en effet engager Jonathan pour le retrouver. Aux dernières nouvelles, Jonathan se serait perdu lors d'une
téléfilms 83 min 2008 tous publicsréalisé par TJ Scottavec Rick Schroder, Victoria Pratt, Peter Fonda, Steven Grayhm, Mike Dopud, Jonathan Brewer, Elyse Levesque, Richard Side A la fin des années 1870, Martha Dennison engage l'anthropologue Jonathan Brock pour retrouver son mari, Edward, disparu après avoir découvert une brèche au centre de la Terre. Accompagnée de son neveu et d'un ami, Martha se lance avec Jonathan dans un périple peuplé de créatures monstrueuses. Dans la jungle, les explorateurs retrouvent Edward, envoûté par une tribu indigène qui finit par les capturer... nous contacter aide et contact contactez-nous par téléphone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 à 18h00. Télécharger l'application France tvLeFilm : Voyage au centre de la Terre . 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La demie vient à peine de sonner à Saint-Michel. — Alors pourquoi M. Lidenbrock rentre-t-il ? — Il nous le dira vraisemblablement. — Le voilà ! je me sauve ; monsieur Axel, vous lui ferez entendre raison. » Et la bonne Marthe regagna son laboratoire culinaire. Je restai seul. Mais de faire entendre raison au plus irascible des professeurs, c’est ce que mon caractère un peu indécis ne me permettait pas. Aussi je me préparais à regagner prudemment ma petite chambre du haut, quand la porte de la rue cria sur ses gonds ; de grands pieds firent craquer l’escalier de bois, et le maître de la maison, traversant la salle à manger, se précipita aussitôt dans son cabinet de travail. Mais, pendant ce rapide passage, il avait jeté dans un coin sa canne à tête de casse-noisette, sur la table son large chapeau à poils rebroussés et à son neveu ces paroles retentissantes Axel, suis-moi ! » Je n’avais pas eu le temps de bouger que le professeur me criait déjà avec un vif accent d’impatience Eh bien ! tu n’es pas encore ici ? » Je m’élançai dans le cabinet de mon redoutable maître. Otto Lidenbrock n’était pas un méchant homme, j’en conviens volontiers ; mais, à moins de changements improbables, il mourra dans la peau d’un terrible original. Il était professeur au Johannæum, et faisait un cours de minéralogie pendant lequel il se mettait régulièrement en colère une fois ou deux. Non point qu’il se préoccupât d’avoir des élèves assidus à ses leçons, ni du degré d’attention qu’ils lui accordaient, ni du succès qu’ils pouvaient obtenir par la suite ; ces détails ne l’inquiétaient guère. Il professait subjectivement », suivant une expression de la philosophie allemande, pour lui et non pour les autres. C’était un savant égoïste, un puits de science dont la poulie grinçait quand on en voulait tirer quelque chose en un mot, un avare. Il y a quelques professeurs de ce genre en Allemagne. Mon oncle, malheureusement, ne jouissait pas d’une extrême facilité de prononciation, sinon dans l’intimité, au moins quand il parlait en public, et c’est un défaut regrettable chez un orateur. En effet, dans ses démonstrations au Johannæum, souvent le professeur s’arrêtait court ; il luttait contre un mot récalcitrant qui ne voulait pas glisser entre ses lèvres, un de ces mots qui résistent, se gonflent et finissent par sortir sous la forme peu scientifique d’un juron. De là , grande colère. Or, il y a en minéralogie bien des dénominations semi-grecques, semi-latines, difficiles à prononcer, de ces rudes appellations qui écorcheraient les lèvres d’un poète. Je ne veux pas dire du mal de cette science. Loin de moi. Mais lorsqu’on se trouve en présence des cristallisations rhomboédriques, des résines rétinasphaltes, des ghélénites, des fangasites, des molybdates de plomb, des tungstates de manganèse et des titaniates de zircône, il est permis à la langue la plus adroite de fourcher. Donc, dans la ville, on connaissait cette pardonnable infirmité de mon oncle, et on en abusait, et on l’attendait aux passages dangereux, et il se mettait en fureur, et l’on riait, ce qui n’est pas de bon goût, même pour des Allemands. Et s’il y avait toujours grande affluence d’auditeurs aux cours de Lidenbrock, combien les suivaient assidûment qui venaient surtout pour se dérider aux belles colères du professeur ! Quoi qu’il en soit, mon oncle, je ne saurais trop le dire, était un véritable savant. Bien qu’il cassât parfois ses échantillons à les essayer trop brusquement, il joignait au génie du géologue l’œil du minéralogiste. Avec son marteau, sa pointe d’acier, son aiguille aimantée, son chalumeau et son flacon d’acide nitrique, c’était un homme très-fort. À la cassure, à l’aspect, à la dureté, à la fusibilité, au son, à l’odeur, au goût d’un minéral quelconque, il le classait sans hésiter parmi les six cents espèces que la science compte aujourd’hui. Aussi le nom de Lidenbrock retentissait avec honneur dans les gymnases et les associations nationales. MM. Humphry Davy, de Humboldt, les capitaines Franklin et Sabine, ne manquèrent pas de lui rendre visite à leur passage à Hambourg. MM. Becquerel, Ebelmen, Brewster, Dumas, Milne-Edwards, Sainte-Claire-Deville, aimaient à le consulter sur des questions les plus palpitantes de la chimie. Cette science lui devait d’assez belles découvertes, et, en 1853, il avait paru à Leipzig un Traité de Cristallographie transcendante, par le professeur Otto Lidenbrock, grand in-folio avec planches, qui cependant ne fit pas ses frais. Ajoutez à cela que mon oncle était conservateur du musée minéralogique de M. Struve, ambassadeur de Russie, précieuse collection d’une renommée européenne. Voilà donc le personnage qui m’interpellait avec tant d’impatience. Représentez-vous un homme grand, maigre, d’une santé de fer et d’un blond juvénil qui lui ôtait dix bonnes années de sa cinquantaine. Ses gros yeux roulaient sans cesse derrière des lunettes considérables ; son nez, long et mince, ressemblait à une lame affilée ; les méchants prétendaient même qu’il était aimanté et qu’il attirait la limaille de fer. Pure calomnie il n’attirait que le tabac, mais en grande abondance, pour ne point mentir. Quand j’aurai ajouté que mon oncle faisait des enjambées mathématiques d’une demi-toise, et si je dis qu’en marchant il tenait ses poings solidement fermés, signe d’un tempérament impétueux, on le connaîtra assez pour ne pas se montrer friand de sa compagnie. Il demeurait dans sa petite maison de Königstrasse, une habitation moitié bois, moitié brique, à pignon dentelé ; elle donnait sur l’un de ces canaux sinueux qui se croisent au milieu du plus ancien quartier de Hambourg que l’incendie de 1842 a heureusement respecté. La vieille maison penchait un peu, il est vrai, et tendait le ventre aux passants ; elle portait son toit incliné sur l’oreille, comme la casquette d’un étudiant de la Tugendbund ; l’aplomb de ses lignes laissait à désirer ; mais, en somme, elle se tenait bien, grâce à un vieil orme vigoureusement encastré dans la façade, qui poussait au printemps ses bourgeons en fleurs à travers les vitraux des fenêtres. Mon oncle ne laissait pas d’être riche pour un professeur allemand. La maison lui appartenait en toute propriété, contenant et contenu. Le contenu, c’était sa filleule Graüben, jeune Virlandaise de dix-sept ans, la bonne Marthe et moi. En ma double qualité de neveu et d’orphelin, je devins son aide-préparateur dans ses expériences. J’avouerai que je mordis avec appétit aux sciences géologiques ; j’avais du sang de minéralogiste dans les veines, et je ne m’ennuyais jamais en compagnie de mes précieux cailloux. En somme, on pouvait vivre heureux dans cette maisonnette de Königstrasse, malgré les impatiences de son propriétaire, car, tout en s’y prenant d’une façon un peu brutale, celui-ci ne m’en aimait pas moins. Mais cet homme-là ne savait pas attendre, et il était plus pressé que nature. Quand, en avril, il avait planté dans les pots de faïence de son salon des pieds de réséda ou de volubilis, chaque matin il allait régulièrement les tirer par les feuilles afin de hâter leur croissance. Avec un pareil original, il n’y avait qu’à obéir. Je me précipitai donc dans son cabinet. Voyageau centre de la Terre. Aventure 2007 1 h 32 min Prime Video. Disponible sur Prime Video Personne ne croit plus le professeur Trevor Anderson lorsqu'il affirme être sur le point de faire une extraordinaire découverte. Aventure 2007 1 h 32 min Prime Video. 61 %. 8+-10 En vedette Brendan Fraser, Josh Hutcherson, Anita Briem. Réalisation Eric Brevig. Similaires. Synopsis Cette nouvelle aventure commence quand Sean reçoit un signal de détresse codé en provenance d’une île mystérieuse qui ne figure sur aucune carte, une île qui recèle des formes de vie étrange, des montagnes d’or, de volcans meurtriers et bien plus d’un secret stupéfiant. Après avoir tenté en vain de le retenir, le nouveau beau-père de Sean décide de l'accompagner dans sa quête. Assistés d’un pilote d’hélicoptère et de sa magnifique fille au caractère déterminé, ils se lancent à la recherche de l’île, sauvent son habitant solitaire et s’échappent avant que les ondes de choc sismiques ne plongent l’île sous les océans, engloutissant ses trésors à tout en version 3D Source: le livre audio : https://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/jules-verne-voyage-au-centre- Voyage au centre de la Terre Aventure 2007 1 h 29 min Prime Video Disponible sur myCANAL, Prime Video Jonathan Brock, anthropologue réputé, se voit confier la plus dangereuse et excitante mission de sa carrière. Martha Dennison, ne se remettant pas de la disparition de son époux Edward, souhaite en effet engager Jonathan pour le retrouver. Aux dernières nouvelles, Jonathan se serait perdu lors d'une expédition vers le centre de la Terre. Aventure 2007 1 h 29 min Prime Video -10 En vedette Rick Schroder, Victoria Pratt, Peter Fonda Réalisation Scott Similaires Distribution et équipe technique
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Voyage au centre de la terre raconte l'histoire d'un scientifique, le Professeur Lidenbrock, et de son neveu Axel, qui découvrent le mystérieux parchemin d'un certain Arne Saknussemme. Dans ce parchemin, ils découvriront qu'il est maintenant possible d'aller au centre de la Terre. Alors ils décideront de se lancer dans cette aventure, avec leur guide. Là -bas ils découvriront un monde aussi époustouflant que terrifiant.... Addeddate 2020-06-26 002138 Identifier jules-verne-_-voyage-au-centre-de-la-terre Scanner Internet Archive HTML5 Uploader comment Reviews There are no reviews yet. Be the first one to write a review.aAhO.